On se retrouve les 21-22 septembre au Kiosque de la Vignettaz
Semaines de la lecture invite les amatrices et amateurs (le mot veut dire aussi amoureux) de mots à la fête, à la rétrospective en images et aux rencontres. Durant le weekend du 21-22 septembre, les initiatrices seront EN RÉSIDENCE au Kiosque de la Vignettaz. On pourra faire son marché de mots et de poèmes dans le BAZAR, prendre son PETIT-DÉJEUNER avec des invités, faire des rencontres, brasser des idées.
Le programme est riche :
Assemblée générale : vendredi 20 septembre à 19h
Petits-déjeuners : samedi 21 septembre de 9h à 10h avec Isabelle-Loyse Gremaud, comédienne de la Cie d’Avril, et dimanche 22 septembre de 9h à 10h avec Thierry Raboud, poète et critique littéraire de La Liberté
+ Grand déstockage de matériel de nos précédentes expos
+ Rétrospective en images
+ Partage et ébauches de prochains projets
L’invitation s’adresse à tout le monde et l’entrée est libre, il y aura même des bonbons !
Lieu : Kiosque rouge de la Vignettaz, arrêt de bus Vignettaz-Daler
Dates : sa 21 et di 22 septembre 2024
Horaire : de 9h à 17h
L’Association Semaines de la lecture fête ses 20 ans !
En effet, c’est en 2004 qu’elle ouvrait sa première exposition intitulée Habiter la lecture, installée dans une galerie sur le boulevard de Pérolles (à l’époque Kaléidoscope). Cette expo originale et interactive invitait à entrer dans un appartement avec cuisine et salle de bain, chaque pièce permettait de découvrir un aspect particulier de la lecture. Le succès fut immédiat au point d’être invitée à voyager : de Delémont à Martigny, de Genève à Limoges et Annecy. Il en fut de même pour plusieurs autres expositions. Nombre d’adultes aujourd’hui se souviennent d’y être venus avec leur prof de français pour y travailler ou participer aux nombreuses animations.
Le comité de création a planché sur plusieurs sujets, toujours autour de la langue et de la lecture, afin de proposer ensuite Le Jardin de l’orthographe (où on pouvait soigner les racines de la langue et jeter au compost les feuilles mortes), Pour tout l’or des mots (dans un décor de banque qui proposait des prêts de mots sans intérêt), Fabulator, en voilà des histoires (restitution d’une usine de textile, ce mot ayant la même racine que texte), La poésie ça carbure (dans une pseudo station-service), La brasserie au bout de la langue où certains ont cru pouvoir y commander une bière.
D’expositions en interventions dans la rue (en 2017 pour la première fois avec La poésie ça court les rues), Semaines de la lecture a offert aux habitants de la ville de découvrir la lecture sous des aspects inédits, d’y trouver des incitations à lire, de s’exposer à la poésie comme en novembre dernier, lors de La poésie frappe à la porte. Les journées pluvieuses ont été éclairées par des poètes et poétesses et dans les diverses langues parlées à Fribourg. Les heureux lecteurs de La Liberté en ont bénéficié grâce aux Plages de vie.